Silhouette Of Loveby *oO-Rein-Oo |
Seule dans mon lit je suis ivre comme un bateau. Il y a l'odeur de ta peau sur la mienne et tu me manques, oui chéri, j'ai envie de te sentir en moi, que tu me prennes devant la télé, comme une enfant occupée que l'on force à passer à autre chose.
PS : Le plaisir n'a aucune valeur. C'est ce qui bat dans la poitrine qui compte, et pas le fait qu'on la caresse.
Je ne veux pas te partager. Je voudrais que tu sois avec moi pour toujours. Tous les matins me réveiller enlacée à toi et me sentir heureuse d'exister, avec cette impression que l'alcool coule H24 dans mes veines, flotter sur mon nuage en partageant ton coussin, parler à tes boxer en caressant tes fesses, et bénir la vie à chaque seconde de m'offrir ton amour, celui dont je rêvais quand j'étais collégienne.
Je te veux enlacé à moi, même dans la rue, même sous le regard indiscret des passants, leur montrer combien je suis fière, combien tu me ressembles, combien tu brilles en société avec tes citations qui font mouche et ton orgueil de major de promo, combien je t'admire, combien je te voulais, et combien je suis chanceuse de t'avoir eu. Je veux fixer les inconnus dans les yeux en glissant mes mains dans tes poches, et leur signifier avec des yeux humides : "oui, je couche avec lui".
Loi de la béatitude maximum : les petits bonheurs volent toujours en escadrille.
Un regard qui se pose sur moi et je me sens belle. J'enlève mes vêtements sans avoir peur de devoir cacher quoi que ce soit : pour toi, il n'y a rien à changer chez moi, rien à effacer, ni mes cuisses, ni mon ventre, mon corps est ton adoration, ce que je détestais fait le bonheur de tes mains.
Une bouche qui se pose dans mon cou et il devient impossible de te résister. Même sentir sa barbe me caresser la joue m'envole, me viole.
A n'importe quelle heure de la nuit, tu te réveilles pour me donner de l'eau, une couverture, de l'amour.
Je crois que je mourrais sur le champ s'il me le demandait.
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