Mon blog, en gros, pour ceux qui ont la flemme de lire le reste.

Stéréotype inutile d'une vie sans remous. Portrait caustique d'une post-adolescente niaise et attardée. Bonjour, j'ai 20 ans et je suis conne. Mais, dieu merci, je ne suis pas encore amoureuse, malgré ce que j'écris (parfois).

Ceci est mon hommage aux hommes dotés de l'honneur d'être ou d'avoir été aimé de moi. Ceci est un hommage à ma solitude.

dimanche 25 septembre 2011

Il y a des histoires dont on sait que l'on ne sortira pas indemne. Que l'on s'en protège ou non.

Je t'ignore, je passe mon temps à regarder là où tes yeux ne sont pas posés. Je te fuis. Tu crois que je ne me préoccupe pas de toi mais je suis dans ton sillage. Je m'amuse à poser mes pieds dans les pas que tu as fait. Je cherche les traces si infimes de ton parfum dans les airs, et quand tu sembles occupé, je reste immobile derrière toi et j'ouvre lentement ma bouche pour tenter d'avaler l'air que tu souffles, pour essayer de sentir le goût de tes poumons contre ma langue. Je te happe langoureusement, j'aspire ta substance, et lorsque je te serre dans mes bras, j'aimerais te réduire en miette, te détruire jusqu'à ce que nous ne fassions plus qu'un. 
Tu penses que je te renie, tu as tout faux. Plus je m'éloigne, plus je suis à toi. Tu m'habite, du fond de mes reins jusqu'au plus profond de mon coeur, de haut en bas, je te transpire, je te suinte par tous les pores, je déborde de toi.

Et pendant que ma mère repasse à côté de moi, sa petite fille, sa gamine, sa rose à peine éclose, mon corps s'amuse à se moquer d'elle. Il lui dit qu'il t'appartient désormais. Il lui dit que mon sein n'existe que pour se poser contre ta bouche. Il lui dit que je ne suis au monde que pour laisser tes expirations mourir sur mes lèvres. Il lui dit qu'il a connu ton corps, ton amour, tes jambes contre mes jambes et ton torse en sueur, et ton cri  comme un enfant perdu qui ne trouve plus son lit. Tu ne trouvais plus ton lit mais tu as trouvé le mien, enfant rebelle de la nuit. Ma peau se souvient du trajet de tes doigts. Je n'ai qu'à fermer les yeux pour sentir ta présence et m'envoler. Toi, abandonné à ma chair ennemie, tes yeux fermé, mes cils contre ta joue, toi venant dans mon corps sans bruit et sans timidité, ton regard amoureux et les claques de tes mains sur mes cuisses venant brutaliser le silence.
Entre mon rêve et ta réalité, il n'y a qu'un pas. Tu m'effraies autant que je t'aime. Pourquoi, pourquoi t'es-tu approché de moi ? Pourquoi n'es-tu pas comme tout ces autres à qui j'ai fait si peur ?
Parfois, cela m'est bien égal de n'être rien pour le monde auquel j'appartiens. J'aimerais seulement obtenir la preuve que je suis quelqu'un pour toi...


love trapby ~nnoik


Tout ces mots que je ne peux dire à personne... Tellement moqueurs sont ceux qui ne peuvent les ressentir. Le seul qui est différent des autres... Je le protège.

samedi 17 septembre 2011

L'enfer, c'est les autres. Plus ils sont présents, plus on est seul.


wickedby ~winktothanatos






Une fille d'ailleurs pousse en moi.
Une fille qui a traversé le désert et refuse la gourde qu'on lui tend. Une fille forte, l'écume de sa rage lui pendant sur les lèvres.
Une fille cynique, mesquine. Une fille qui n'est pas méchante par elle-même mais qui croit qu'elle vaut de l'or quand elle repousse ses limites pour se faire aimer des autres. Une fille qui a besoin de se prouver à elle-même qu'elle aussi peut prendre sa place au sein du monde, détruire, faire le mal pour exister, être respectée. Même si au fond d'elle-même, elle ne le veut pas, elle sent bien que la haine qu'elle a en elle exige une dictature solitaire de son esprit sur ses états d'âmes, elle s'interdit le repos, elle s'interdit d'appeler à l'aide, elle ne s'autorise qu'à se taire. Alors, quand on lui donne l'occasion de prendre un petit pouvoir, elle joue le petit chef. Elle avale ses cachets de confiance et elle croit prouver au monde qu'elle en est capable, elle aussi.
Elle est des nôtres, elle a jeté la pierre comme les autres.

Les gens qu'elle aimait plus que tout l'ont jugée.

mercredi 14 septembre 2011

A quoi bon vouloir être inoubliable ? Ils nous oublient toujours de toute façon. La vie c'est l'oubli.

Je me demande si. Je me demande vraiment si.



(A vouloir toujours faire les bons choix, à toujours attendre l'étincelle qui ne viendra jamais, les autres finissent par avancer sans nous.)

lundi 12 septembre 2011

L'histoire de 95% des couples de la terre.

Regarde et contente toi de sourire pour ce que nous ne serons jamais.
Nous ne serons jamais ces couples idiots qui n'ont plus en commun que cette illusion, que ces souvenirs de chansons d'amour sur lesquelles ils se sont séduits, qui trotte aussi vite dans leur mémoire que l'aiguille des secondes qui les a perdu.

Messieurs, mesdames, n'essayez pas de nous convaincre que vous vous aimez encore. Cela n'est pas de l'amour mais du mensonge pour tromper votre solitude. Vous ne trompez que vous-meme.

samedi 10 septembre 2011

Je me porte candidate pour souffrir de nouveau comme une enfant. Mais pas comme l'enfant que j'étais. (C'est Little qui parle, Little qui hurlait dans ma tête qu'elle voulait grandir pour arrêter de souffrir)


There's a little childby ~hellolikegoodbye



Ma petite princesse est transie de froid, assise sous un pin. Ses pieds ensanglantés font des tâches rosées dans la neige. Des larmes gelées se décrochent de ses joues qui tremblent. Elle se demande si son père va venir la chercher, s'il sera capable de crier son nom en bas des falaises. Elle se demande combien de litres d'alcool il a pu boire, combien d'heures a-t-il passées à tituber contre les seins des femmes au fond des bars. Combien de joints a-t-il roulé pour oublier que sa vie n'est pas semblable à celle dont il avait rêvé quand il avait l'âge de sa fille ? 
Papa a souffert, marmonne-t-elle dans ses dents, j'aurai dû l'aider

Alors ma petite princesse relève la tête, et elle me demande de me lever, d'avoir du courage. Elle ne m'accuse pas de l'avoir suivie, elle me dit que maintenant que nous sommes loin de chez nous, il faut simplement continuer à marcher. Elle enfile son manteau de laine et je me sens ignorante. Les enfants savent tout parce qu'ils n'oublient pas d'aimer les bonnes personnes. Les enfants sont purs, ils ne s'amourachent pas des étrangers, ils ne se suicident pas pour des amours perdus, ils aiment seulement leurs parents, et ils aiment même sans recevoir cet amour en retour. Ils n'aiment pas n'importe qui.

Mais nous, nous ne sommes pas les enfants de n'importe qui, me dit-elle, tandis que je pose un baiser sur sa joue. Papa, c'est le meilleur papa du monde. On reviendra, un jour. 






Les petits enfants tombent de leurs bicyclettes, mais les adultes ne les relèvent pas parce qu'ils oublient que l'on peut souffrir à tout âge de la vie. Ils regardent la jeunesse batifoler et s'engraissent de statistiques prouvant que le suicide juvénile régresse. Ils oublient que les plus grosses douleurs des enfants proviennent du fait qu'on ne les prenne pas au sérieux. 
Ils oublient Little C., sa solitude un soir de décembre, et ses jambes ballantes dans le vide au dessus de l'immaculée neige. Little ne les a jamais oubliés, elle. Elle continue même à écrire sur eux. 

La femme est un loup pour l'homme.


Noyade II by seeb34

Je refuse simplement l'idée de la vie imparfaite car elle n'est pas conforme à ma volonté obsessionnelle de vivre heureuse.


Mettons-nous hors d'état de nuire. Devenons des robots. 

vendredi 9 septembre 2011

J'ai vingt ans. 



9 septembre 2011.




(Et la déception de voir que je n'ai pas reçu de déclaration d'amour anonyme à minuit.)
Edit : Et bien, si, en fait. Tout arrive à qui sait attendre.

mardi 6 septembre 2011

« L’échange de fluides corporels, c’est quand même le summum de l’intimité. Prenez le don du sang par exemple. »

Je serre mon oreiller entre mes dents et ma couverture entre mes jambes. Mon sang bat en soulevant la peau de mes cuisses. 
Mon souffle se coupe. J’entends des bruits dans l’escalier. Quelqu’un vient pour me battre ou pour me faire l’amour. Soudain, j’ai peur que ce ne soit pas toi. J’ai peur d’avoir attrapé Alzheimer dans la nuit et donné rendez-vous à un amant que j’aurais déjà oublié. Ca commence à jouer du violoncelle dans mon ventre. Il y a des fleurs dans mes cheveux, elles tombent du lit, tombent sur le sol, je voudrais me rouler dedans et les mettre dans ma bouche. Je voudrais mourir pour deux. Et ce bruit incessant dans l’escalier, ces pas qui viennent vers moi, j’écarte déjà les jambes, je suis sale. Je veux que tu me dises encore que je suis mauvaise. Peignons les murs en un rouge de mauvais goût, et frappons nos corps contre ces murs pour les rendre aussi écarlates, jusqu'à ne plus distinguer notre chair dans le décor.
On ne peut rien contre le désir d'aimer. On peut refouler son propre désir, mais l'on ne peut rien contre le désir des autres. Même si tu viens pour me demander le divorce, je te ferai l’amour. Même si tu viens me dire que tu es mort dans l’après-midi, je te ferai l’amour. Même si le chien s’est pendu, je te ferai l’amour. Même si la mer se change en miettes de pain, je te ferai l’amour. J’enfoncerai mes poings dans les muscles tendus de ton dos. J’arracherai tes cheveux avec mes dents et j’en ferai une soupe pour les enfants, les enfants qui seront de toi ou d’un autre homme. Je voudrais les voir manger leurs boules de poil comme des chats et s’étouffer avec en buvant du chocolat au lait (le moins cher possible).
Des pièces de mon plafond s’effondrent sur mes jambes inertes, et tandis que mon lit s’enfonce dans le sol j’entends résonner dans le fond du jardin une sonate de Mozart. A la place des pièces de plafond manquantes, un tatoueur de quartier a plagié Léonard de Vinci en dessinant la Joconde sous sa peau. Je me dis que ma vie n’est pas super mais que je l’aime bien. Et moi je dis que ce sont des épinards et que j'aime pas ça, répond ma conscience. Tant pis si j’ai parfois les pieds dans l’eau et le foie dans le whisky. Je reste fidèle au liquide et aux fluides corporels. Le moment de l'échange de fluides corporels, c’est quand même le summum de l’intimité. Prenez le don du sang par exemple.
Mon amour, tu crois tout comprendre, ou alors tu ne comprends rien, ou alors les deux. Moi ça me rend folle, mais pas de toi. Je ne te vise pas vraiment, même quand je t’accuse, je suis juste déçue de nous au point de vouloir me faire prendre sans amour au milieu de mes erreurs et entre mes larmes, si tu arrives à t’y frayer un passage.
On ne s’est pas mis sur le bon bateau. Le notre est parti trop vite et ne nous a pas amenés à la bonne destination. Une fois débarqués sur ce quai inconnu, nous avons couru, couru, et la ligne d’arrivée ne m’a pas arrêtée. J’irai plus loin désormais, et dieu seul sait quel est l’homme qui me retiendra. Et si quelqu'un me retient, ce ne sera pas toi. On n’arrête pas la course d’une chienne avec un morceau de saucisse.
Dire que tu m’aimais. Vivre d’espoir fait vivre. Chaque déclaration d’amour de ta part creuse une entaille dans mon tapis volant. Je perds de l’altitude, moi qui rêvait de vivre une belle tragédie romantique, au bord d’une plage et sous la pluie. Alors qu'au bord de mer sous la pluie, le sable colle aux pieds, même le soleil devient collant, mais ça n’avait pas d’importance dans mes rêves. Et toi, mon petit garçon, tu ne rêvais pas de ça ? J'aurais voulu te connaître enfant pour m'épargner l'envie de te connaître plus tard. 
Je sais, je sais, le fait que tu ne me dises pas oui ne signifie pas oui. Tu rêvais d’une princesse, puis tu as trouvé mon cul et tu l’as libéré.
Je calme mon ventre qui gonfle sur mon lit comme une pate à pain. J’aimerais que tu le repasses. Si tu le rends présentable, tu pourras le mettre sur ton dos pour aller au travail.  
Ma tête expose dans un bad trip digne de ce nom, j’ai les tripes en compote, l’artère en marmelade, la glaire cervicale en terrine de lapin. J’aimerais m’asseoir sur le rebord de la fenêtre et me réveiller au fond d’un océan. Je te trouve assis dans l'escalier, intimidé par la maison trop grande, et je me sens comme amoureuse de ta préciosité nerveuse. 
Je prends le pied que tu me tends et je donne un coup de pied aux communistes et aux prêtes pédophiles, et aux moniteurs d’auto-école, et à la guerre dans le monde. Allez, au feu, au feu les mères célibataires qui racontent leurs histoires de cul à leurs enfants, et la ménopause, et le foot à la télé. C’est pourtant tout ce qu’il me restait.
Y’a comme un pieux dans mon pieu. Comme un derrière qui prend les devants. Et moi sens dessus dessous, je retrouve l’essence de mes sens. Nos dessous n’ont plus de sens.  J’attrape tes mains tremblantes et je crois que je ressens une overdose d’amour en couleur. 
Mes draps violets finissent ecchymosés de croutes blanches. J’aime passer mes mains dessus quand je calcule l'hypoténuse d'un triangle carré.
Je manque de maturité pour écrire sur tout l’amour que l'on ne se donne pas. Soudainement, je comprends que c'est moi qui ne donne pas assez, et que tu es incapable de combler tous les vides en même temps, en l'occurrence ceux de mon coeur. 
Je crois que tu es le genre de personne que l’on ne devrait pas aimer uniquement les soirs où l’on a trop bu. (Par contre, les autres jours, je n'ose pas). 



Ce que j'ai pensé en t'écrivant alors que tu ne le mérites pas : Je voudrais que tu sois méchant pour t’aimer encore plus. Parce que la haine que je te voue actuellement m’oblige à te remplacer par ton clone idéal. 
Le pas dans l’escalier est la métaphore de notre relation qui s’est arrêtée en chemin sans aller jusqu’au bout de son parcours. Toi tu restes planté là en hésitant à entrer dans ma chambre. Moi je t’attends sur mon lit en pleurant de ne pas savoir si je peux t’y faire une place.

Reviens vite.
PS : Si tu peux, pas trop tard.

"Non, ne dis rien, mon amour, reviens juste au matin
T'immiscer et félin sous les draps chauds de mon corps
Qui cherchera ta main, dehors, il fera mauve
Et ces éléphants roses reprendront leur chemin."
15 septembre, Benjamin Biolay

dimanche 4 septembre 2011

Je pense que te détester n'est qu'un stratagème de mon esprit pour ne pas cesser de penser à toi à longueur de journée.

Nous avions envie de nous. Envie d'être l'un pour l'autre, l'un dans l'autre, l'un avec l'autre. Puis, un jour, nous avons eu une idée.

Ne plus avoir envie. L'idée est tombée sur le fromage au moment du dessert. On l'a vue se poser sur les assiettes comme une mouchelette affamée.

C'était peut-être la meilleure des solutions. Nous allions remplacer nos regards de jeunes amants par des paroles. Bonjour philosophie, discours interminables, disputes du soir. Nous allions commencer à nous demander si Locke avait inspiré Montesquieu, si l'un de nous avait lu les mêmes livres que l'autre, s'il fallait à tout prix fusionner intellectuellement aussi parfaitement que nous avions fusionné physiquement. Mais comment remplacer "Oh oui, fourre-moi ta sale langue dans le gosier gros cochon" par "Je voudrais avoir des enfants avec toi pour qu'ils te ressemblent" ? 

Toute la vie avait toujours fonctionné sur l'envie. Cette envie qui, une fois assouvie, engendrait automatiquement le bonheur. Comment survivre avec un autre moteur ? Faudrait-il remplacer l'envie par la routine, la fougue par une vie calme et reposante, le désir par la tendresse mutuelle, la découverte de l'autre par la connaissance de l'autre ? L'envie passée deviendrait-elle à long terme une expérience ?

Cette nouvelle aurait pu susciter l'admiration des autres si elle n'avait pas entraîné tout ce tas de questions sans réponses. D'autres visages surviennent dans les pensées de chacun, on y pense de plus en plus, et l'on ne sait plus tellement si l'on aime suffisamment l'autre pour ne pas s'en détourner, pour ne pas aller vers ces individus inconnus et si chaleureux qui nous chériraient si bien.

prelude to a kissby ~indigosoul






Comment s'en sort-on quand on découvre que l'amour physique n'est pas l'amour moral ? Certains diront : "ils n'avaient qu'à mettre les choses au clair dès le début". Mais ces choses n'étaient probablement pas si claires, même pour nous.




Clémence, 20 ans dans 5 jours et 17 ans dans sa tête.

jeudi 1 septembre 2011

Les hommes ? Non merci, j'essaie d'arrêter.

Ce n'est qu'un petit mensonge entre deux amis. Mais un mensonge insurmontable quand il s'agit de deux amants potentiels. 
Ce ne sont pas nos actes qui sont condamnables, mais le fait que ces actes soient connus de tous, sauf des bonnes personnes. Cela ne devrait pas se passer ainsi lorsque l'on s'aime (soit disant). 

Tout ces mots que tu m'as dit à l'époque, et qui d'un coup, deviennent de faux aveux. Je n'étais rien pour toi, rien de plus qu'un jouet qui s'accrochait. Et dire que je t'ai aimé. Tout à coup, cela devient atroce, tu m'as dupée, tu as triché avec moi. Je ne condamne pas tes erreurs, je condamne le fait que tu aies eu envie de les faire, que cette envie t'ai traversé la tête au point de les commettre, alors que je n'y aurais jamais pensé. Pas une seule fois je n'ai posé mes yeux sur un autre homme, pas une seule fois depuis toi. 


Et pendant que je me morfonds, tu fais jurer tes amis de ne rien me dire, comme s'ils ignoraient la sincérité et le courage, les plus beaux atouts de l'amitié. Ils se trompent tous sur moi. Je tolère les erreurs des hommes, mais je ne tolère pas leur silence.


"Je ne veux pas me battre. Mais être dans l'attente d'une bataille à laquelle on ne peut pas échapper, c'est encore pire". Le seigneur des anneaux, le retour du roi. (c'est le petit hobbit qui parle à Gandalf, là, vous savez...)


In The Silenceby ~Tatyana-Klimenko


L'ancien toi me manque. L'ancien toi qui me traitait comme une véritable amie.


Words like violence,
break the silence. 


(Dépêche-toi.)


Bérénice B. parle d'elle beaucoup trop souvent.